Au départ, disant grosso modo, l'art dit classique, avait pour structure la peinture généralement sur toile et la sculpture sur socle et son aventure esthétique se traduisait dans la poursuite et la création pour les meilleurs artistes, des canons de la figuration, dans le droit chemin de sa classification en genres, comme le paysage, le portrait, la nature morte et bien d'autres. C'était suivre les règles, en essayant d'en proposer de nouvelles. De la différence dans la répétition.
La première bifurcation est venu avec l'art dit moderne, et ses impressionnistes, pour se poursuivre dans la transgression, et la remise en question des règles, qui ont abouti à la pure abstraction.
Quant à la seconde bifurcation, elle est arrivée avec l'avènement de l'art contemporain et sa remise en question totale du concept dart, lui-même.
Pour raconter ça en histoire, je vous demande d'imaginer l'art contemporain comme un gros paquebot de croisière fonçant à toutes allures vers l'horizon, tandis que l'art moderne, c'est plutôt un vieux chalutier poursuivant Moby Dick, en mer haute, et enfin larr classique, ce vieux gréement à voile.
Moi, au départ, je me suis confectionné une petite barque, ( Ghourri Art)avec laquelle j' ai voulu poursuivre le gros paquebot, mais en clandestin (Primitif Numérique), que j'étais, je n'ais hélas pas pu le faire, et c'est en rencontrant Gilles Deleuze, qui m'avait convaincu de prendre plutôt le chalu, à la poursuite de ce montre des Plis... Que je me suis trouvé en train de faire de la peinture.
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